Histoire érotique : Notre premiére fois
CHAPITRE 2
J'ai 29 ans quand je rencontre Aurélie lors d'une banale soirée entre amis. Elle en a 24 et elle est encore étudiante à l'époque. Comme dans toutes les fêtes ou je ne connais qu'une minorité de personnes, j'ai tendance à rester un peu dans mon coin mais la soirée se passe bien. Des que je rencontre Aurélie, elle me plait, surtout parce qu'elle est immédiatement sympathique. Elle est douce, souriante et drôle. J'apprends très vite qu'elle est en couple. Moi je suis célibataire depuis pas mal de temps. C'est le désert sexuel depuis plus d'un an.
Quand j'apprends qu'elle est en couple (en fait elle a rencontré son petit ami à la fac, ils sont ensemble depuis 5 ans), je me dis: voilà encore une fille cool mais pas disponible. A ce stade, la plupart de mes amis et fréquentations sont souvent casés et je cotois de moins en moins de célibataires. Je ne suis pas asocial mais les lieux de rencontre et de drague n'ont jamais été mon truc. Et puis je suis un piètre dragueur.
Le hasard va faire que quelques semaines plus tard, Aurélie va se séparer de son petit ami. C'est un peu un choc pour elle. Son petit ami, militaire, semblait parti pour une carrière et leur entourage les voyait déjà comme un couple idéal prêt à fonder un foyer et une famille. Je la revois quelques temps après et à chaque fois, le courant passe bien. Nous apprenons à nous connaitre et nous rions aux mêmes bêtises. Cette complicité enfantine va contribuer à nous rapprocher.
Mais sa réserve naturelle et mon incompétence en matière de séduction font qu'on aura notre premier rendez vous des mois plus tard et c'est lors de d'une simple sortie au resto qu'on échange un premier baiser. C'est spontanément qu'elle m'invite à sa fête d'anniversaire organisée dans la villa de sa mère. Depuis qu'elle a rompue avec son petit ami, elle est retournée vivre chez sa mère en attendant de finir ses études, elle retrouve la maison ou elle a vécue une grande partie de son adolescence, ses parents étant divorcés depuis une quinzaine d'années. Passer du flirt à la rencontre avec sa famille a quelque chose d'intimidant mais je ne peux refuser.
C'est surtout que je suis de plus en plus attiré par Aurélie. Célibataire depuis bien trop longtemps, ma sexualité se résume comme depuis mon adolescence à de nombreuses séances de branlettes quotidiennes me permettant d'exploiter tout un stock de magazines pour hommes, de photos de filles sexy et de vidéos pornos téléchargées ici et là. Peu à peu, au milieu des actrices célébres, des présentatrices télé, des hardeuses se faisant gangbanger par des mâles endurants se glisse dans mes fantasmes le visage doux et le corps mince d'Aurélie. Au détour d'une conversation téléphonique bien sage au son de sa douce voix ou en regardant certaines de ses photos sur sa page Facebook, je finis par me soulager en criant son nom.
Le jour de la fête chez sa mère, les présentations avec la famille (et donc sa mère, une femme charmante mais un peu distante âgée de 44 ans) laisse vite place à une longue journée autour d'un buffet généreux et d'une piscine suffisamment grande pour que chacun puisse en profiter. Une vingtaine de personnes plus les enfants de certains d'entre eux. Très vite, Aurélie et moi allons nous rafraichir et c'est ainsi que je la découvre vêtue d'un bikini bleu aussi simple qu'élégant qui met en valeur sa fine silhouette, rehausse joliment sa poitrine menue et laisse entrevoir un joli cul arrondi au sommet de jambes fines et de petits pieds charmants. Sa peau affiche une blancheur qui tranche avec le bleu vif du maillot et ses cheveux moins clairs qu'a l'accoutumée et surtout ses beaux yeux verts. Difficile de détacher mon regard d'elle et à plusieurs reprises sous mon maillot short, je dois ruser pour cacher que je bande terriblement.
Quelques grignotages, boissons alcoolisées, quelques conversations banales et surtout des baignades prétextes à nombreux jeux régressifs auxquels on s'adonne même adultes quand on est dans une piscine aident à oublier la tension. Après avoir bavardé avec moi autour d'un verre, elle décide d'aller se sécher et se changer et je la suis moi aussi, lui demandant de me prêter une serviette. Elle me montrer la salle de bain puis tandis que je me sèche, j'entrevois sa chambre, cette chambre de jeune fille dans laquelle elle est revenue vivre depuis quelques mois, depuis la rupture avec son ex. Une chambre à son image, colorée mais sage, son lit, sa bibliothèque remplie de livres, son bureau d'étudiante studieuse, un mur de photos de voyage et d'amis de jeunesse, de goodies et d'objets divers.
Enfin seuls, nous nous embrassons longuement et l'excitation revient vite devant ses beaux yeux, la douceur de ses lèvres et sa peau encore légèrement humide, le décolleté de son maillot laissant entrevoir ses petits seins. Pour une fois, je laisse trainer mes mains sur des endroits de son corps que je n'avais jamais effleurés. Elle s'assied sur le lit en poussant divers vêtements et sacs car sa chambre a servi d'endroit pour que certains des invités puissent y laisser leurs affaires. Je lis bien son embarras face à une étreinte au milieu des affaires des invités, ce qui rend son lit moins confortable mais je continue à l'embrasser et elle laisse glisser ses mains de mon torse vers mes cuisses puis vers mon entre jambes pour enfin caresser mon sexe à travers mon maillot short.
Je baisse légèrement mon maillot et je lui offre mon sexe qu'elle commence à branler doucement et tandis que nous reprenons notre souffle entre deux baisers, elle commence même à me prendre en bouche et à me sucer timidement. Mais je respire de plus en plus fort, l'excitation se fait sentir et autour de nous, nous entendons le bruit des invités qui continuent de passer cette journée sans nous. La porte de sa chambre est fermée mais pas à clé et la possibilité que quelqu'un nous surprenne invite Aurélie à se raviser. "Ce n'est peut-être pas le bon moment...". C'est à ce moment qu'en fouillant dans une des poches de ma sacoche, je sors une capote
Je la couche alors sur le lit et viens sur elle et tout en l'embrassant retire le bas de son maillot. Je sens l'humidité de son entrecuisse pas encore totalement sec et ma bite vient rencontrer le bas de son ventre. Le sensation que me procure son corps au contact du mien me rend dingue, je baisse mon maillot jusqu’à le faire tomber à mes pieds et je vois à peine le regard de surprise sur son visage quand je la retourne sur le lit, nos jambes ou nos pieds pendouillants sur le bord du lit. Elle me regarde alors après avoir entendu le son de l'emballage de la capote qui se déchire et je suis en train de me branler et poser le préservatif. En prenant appui sur mes jambes, j'écarte les siennes et enfin je m'introduis en elle.
Au début, j'essaie de rester en position debout et je passe ma main sous elle pour caresser sa chatte mais assez vite notre poids nous entraine vers le lit dans un chaos de sacs et de vêtements qui tombent de chaque côté tandis qu’Aurélie au fur et à mesure que notre étreinte s'intensifie ne peut s’empêcher de serrer le drap du lit avec ses mains et tente de ne pas rajouter des gémissements aux bruits du lit. Mais personnellement, je ne fais plus attention à ça, l'excitation devient telle que je me mets à la prendre de plus en plus fort et c'est presque instinctivement que chacun met la main sur la bouche de l'autre pour couvrir des cris que nous n'arrivons plus à contrôler. Quand je gicle au fond de sa chatte, j'en ai le vertige.
Évidemment, c'est elle qui sort en premier de l'état de transe dans lequel nous a mis cette excitation soudaine, elle range le lit et c'est péniblement que je me rhabille et que je l'aide à rassembler les sacs et les habits des invités pour remettre un semblant d'ordre sur ce lit saccagé par un moment de baise. Elle oublie brièvement toute pudeur en se déshabillant entièrement devant moi puis en mettant un tee shirt et un short en jean, en arrangeant rapidement ses cheveux encore mouillées et légèrement ondulés. En deux temps trois mouvements, j'admire pour la première fois sa rapidité à redevenir à la jeune fille sage et posée qu'elle a toujours été. Il est temps de retourner à la fête de famille. Personne ne se doutera de rien en nous voyant ressurgir parmi les invités...
J'ai 29 ans quand je rencontre Aurélie lors d'une banale soirée entre amis. Elle en a 24 et elle est encore étudiante à l'époque. Comme dans toutes les fêtes ou je ne connais qu'une minorité de personnes, j'ai tendance à rester un peu dans mon coin mais la soirée se passe bien. Des que je rencontre Aurélie, elle me plait, surtout parce qu'elle est immédiatement sympathique. Elle est douce, souriante et drôle. J'apprends très vite qu'elle est en couple. Moi je suis célibataire depuis pas mal de temps. C'est le désert sexuel depuis plus d'un an.
Quand j'apprends qu'elle est en couple (en fait elle a rencontré son petit ami à la fac, ils sont ensemble depuis 5 ans), je me dis: voilà encore une fille cool mais pas disponible. A ce stade, la plupart de mes amis et fréquentations sont souvent casés et je cotois de moins en moins de célibataires. Je ne suis pas asocial mais les lieux de rencontre et de drague n'ont jamais été mon truc. Et puis je suis un piètre dragueur.
Le hasard va faire que quelques semaines plus tard, Aurélie va se séparer de son petit ami. C'est un peu un choc pour elle. Son petit ami, militaire, semblait parti pour une carrière et leur entourage les voyait déjà comme un couple idéal prêt à fonder un foyer et une famille. Je la revois quelques temps après et à chaque fois, le courant passe bien. Nous apprenons à nous connaitre et nous rions aux mêmes bêtises. Cette complicité enfantine va contribuer à nous rapprocher.
Mais sa réserve naturelle et mon incompétence en matière de séduction font qu'on aura notre premier rendez vous des mois plus tard et c'est lors de d'une simple sortie au resto qu'on échange un premier baiser. C'est spontanément qu'elle m'invite à sa fête d'anniversaire organisée dans la villa de sa mère. Depuis qu'elle a rompue avec son petit ami, elle est retournée vivre chez sa mère en attendant de finir ses études, elle retrouve la maison ou elle a vécue une grande partie de son adolescence, ses parents étant divorcés depuis une quinzaine d'années. Passer du flirt à la rencontre avec sa famille a quelque chose d'intimidant mais je ne peux refuser.
C'est surtout que je suis de plus en plus attiré par Aurélie. Célibataire depuis bien trop longtemps, ma sexualité se résume comme depuis mon adolescence à de nombreuses séances de branlettes quotidiennes me permettant d'exploiter tout un stock de magazines pour hommes, de photos de filles sexy et de vidéos pornos téléchargées ici et là. Peu à peu, au milieu des actrices célébres, des présentatrices télé, des hardeuses se faisant gangbanger par des mâles endurants se glisse dans mes fantasmes le visage doux et le corps mince d'Aurélie. Au détour d'une conversation téléphonique bien sage au son de sa douce voix ou en regardant certaines de ses photos sur sa page Facebook, je finis par me soulager en criant son nom.
Le jour de la fête chez sa mère, les présentations avec la famille (et donc sa mère, une femme charmante mais un peu distante âgée de 44 ans) laisse vite place à une longue journée autour d'un buffet généreux et d'une piscine suffisamment grande pour que chacun puisse en profiter. Une vingtaine de personnes plus les enfants de certains d'entre eux. Très vite, Aurélie et moi allons nous rafraichir et c'est ainsi que je la découvre vêtue d'un bikini bleu aussi simple qu'élégant qui met en valeur sa fine silhouette, rehausse joliment sa poitrine menue et laisse entrevoir un joli cul arrondi au sommet de jambes fines et de petits pieds charmants. Sa peau affiche une blancheur qui tranche avec le bleu vif du maillot et ses cheveux moins clairs qu'a l'accoutumée et surtout ses beaux yeux verts. Difficile de détacher mon regard d'elle et à plusieurs reprises sous mon maillot short, je dois ruser pour cacher que je bande terriblement.
Quelques grignotages, boissons alcoolisées, quelques conversations banales et surtout des baignades prétextes à nombreux jeux régressifs auxquels on s'adonne même adultes quand on est dans une piscine aident à oublier la tension. Après avoir bavardé avec moi autour d'un verre, elle décide d'aller se sécher et se changer et je la suis moi aussi, lui demandant de me prêter une serviette. Elle me montrer la salle de bain puis tandis que je me sèche, j'entrevois sa chambre, cette chambre de jeune fille dans laquelle elle est revenue vivre depuis quelques mois, depuis la rupture avec son ex. Une chambre à son image, colorée mais sage, son lit, sa bibliothèque remplie de livres, son bureau d'étudiante studieuse, un mur de photos de voyage et d'amis de jeunesse, de goodies et d'objets divers.
Enfin seuls, nous nous embrassons longuement et l'excitation revient vite devant ses beaux yeux, la douceur de ses lèvres et sa peau encore légèrement humide, le décolleté de son maillot laissant entrevoir ses petits seins. Pour une fois, je laisse trainer mes mains sur des endroits de son corps que je n'avais jamais effleurés. Elle s'assied sur le lit en poussant divers vêtements et sacs car sa chambre a servi d'endroit pour que certains des invités puissent y laisser leurs affaires. Je lis bien son embarras face à une étreinte au milieu des affaires des invités, ce qui rend son lit moins confortable mais je continue à l'embrasser et elle laisse glisser ses mains de mon torse vers mes cuisses puis vers mon entre jambes pour enfin caresser mon sexe à travers mon maillot short.
Je baisse légèrement mon maillot et je lui offre mon sexe qu'elle commence à branler doucement et tandis que nous reprenons notre souffle entre deux baisers, elle commence même à me prendre en bouche et à me sucer timidement. Mais je respire de plus en plus fort, l'excitation se fait sentir et autour de nous, nous entendons le bruit des invités qui continuent de passer cette journée sans nous. La porte de sa chambre est fermée mais pas à clé et la possibilité que quelqu'un nous surprenne invite Aurélie à se raviser. "Ce n'est peut-être pas le bon moment...". C'est à ce moment qu'en fouillant dans une des poches de ma sacoche, je sors une capote
Je la couche alors sur le lit et viens sur elle et tout en l'embrassant retire le bas de son maillot. Je sens l'humidité de son entrecuisse pas encore totalement sec et ma bite vient rencontrer le bas de son ventre. Le sensation que me procure son corps au contact du mien me rend dingue, je baisse mon maillot jusqu’à le faire tomber à mes pieds et je vois à peine le regard de surprise sur son visage quand je la retourne sur le lit, nos jambes ou nos pieds pendouillants sur le bord du lit. Elle me regarde alors après avoir entendu le son de l'emballage de la capote qui se déchire et je suis en train de me branler et poser le préservatif. En prenant appui sur mes jambes, j'écarte les siennes et enfin je m'introduis en elle.
Au début, j'essaie de rester en position debout et je passe ma main sous elle pour caresser sa chatte mais assez vite notre poids nous entraine vers le lit dans un chaos de sacs et de vêtements qui tombent de chaque côté tandis qu’Aurélie au fur et à mesure que notre étreinte s'intensifie ne peut s’empêcher de serrer le drap du lit avec ses mains et tente de ne pas rajouter des gémissements aux bruits du lit. Mais personnellement, je ne fais plus attention à ça, l'excitation devient telle que je me mets à la prendre de plus en plus fort et c'est presque instinctivement que chacun met la main sur la bouche de l'autre pour couvrir des cris que nous n'arrivons plus à contrôler. Quand je gicle au fond de sa chatte, j'en ai le vertige.
Évidemment, c'est elle qui sort en premier de l'état de transe dans lequel nous a mis cette excitation soudaine, elle range le lit et c'est péniblement que je me rhabille et que je l'aide à rassembler les sacs et les habits des invités pour remettre un semblant d'ordre sur ce lit saccagé par un moment de baise. Elle oublie brièvement toute pudeur en se déshabillant entièrement devant moi puis en mettant un tee shirt et un short en jean, en arrangeant rapidement ses cheveux encore mouillées et légèrement ondulés. En deux temps trois mouvements, j'admire pour la première fois sa rapidité à redevenir à la jeune fille sage et posée qu'elle a toujours été. Il est temps de retourner à la fête de famille. Personne ne se doutera de rien en nous voyant ressurgir parmi les invités...
vor 1 Jahr